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La brocante Schulé, petit historique :
Durant ma jeunesse, j’ai fait beaucoup de récup dans les décharges, et j’ai commencé à m’intéresser à la brocante vers l’âge de 15ans. Dans l’ordre, je me suis intéressé : Aux vieilles radios, plaques émaillées, pompes à essence, signalisation routière… Après avoir exercé durant des années un métier « honnête » J’ai décidé de passer du côté obscur … Et me lancer « officiellement » dans la brocante. Même si c’est une activité parfois pas très bien considérée (les brocanteurs étant souvent un peu des marginaux). Ni prise au sérieux. J’essaye de la faire avec le plus de professionnalisme possible. Sans pour autant me prendre trop au sérieux (au vu parfois des pointes de 2ème degré dans mes textes …). Historique chronologique sur ma page actualités. Et biographie plus détaillée en bas de page.
En 2015 avec un avant de Vauxhall préparé pour une déco
Sur la photo de gauche datée 1995, la grange familiale (avant les grands travaux). L’on y voit déjà tous les objets qui me passionnent, que je collectionne, et que je vends. Au milieu, mon stand à l’Oldtimer und Teile Markt à Berne en 1996, A droite une photo de votre serviteur (avec sa copine en plastique …). À l’OTM de Berne en 2000.
A gauche une photo de la cour de l’expo « post-industriel et design » de 2006, au milieu une vue de mon exposition de pompes à essence en 1996 à la galerie de la Broye. Et à droite, la salle des années 1950-60 du salon du vintage de Payerne en 2014.
L’archéologie du XXème siècle m’a toujours fasciné …
Ma passion pour la brocante est venue de mon grand père paysan. Si celui-ci n’avait pas de culture dans le monde de l’antiquité, il avait cependant un « flair » pour les bonnes affaires. Qu’il dénichait dans les petites annonces du « Sillon Romand » (le journal de l’époque des agriculteurs). Lorsque j’allais avec lui au « ruclon » (= déchèterie en Vaudois). L’on ramenait toujours qqch. Malgré son air bourru, il avait cependant une certaine sensibilité et intelligence. Je me rappelle qu’un jour, il avait racheté une armoire vaudoise qui allait finir en clapier à lapin, pour la sauver.
J’ai continué à faire de la récup avec mes parents. Notre plaisir du dimanche matin était de faire les décharges. C’était une époque où l’on ne triait rien, et l’on trouvait encore toute sorte de merveilles. Assez jeune, un jour que je visitais une brocante. J’ai acheté une paire de jumelles à 5.- et je l’ai revendue 10.- quelques stands plus loin. Lorsque j’ai retrouvé mes parents, et que je leur ai dit que j’avais gagné 5.- « sans rien faire » Ils étaient émerveillés ! A partir de l’âge de 15ans, j’ai commencé à fréquenter les brocantes en plus des décharges. Et j’ai commencé à amasser toute sorte de choses. Venant d’une famille de travailleurs manuels. J’étais fasciné par l’idée de gagner de l’argent « sans travailler »
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La plupart des brocanteurs le sont devenus, car ils étaient en premier lieu collectionneurs (et je ne fais pas exception à la règle). J’ai commencé par collectionner les briquets, ensuite les radios, puis les plaques émaillées. Et ça ne s’est plus arrêté, pour finir « collectionneur de collections » Et pour pouvoir continuer à acheter, il faut parfois vendre. Et ça comme cela que l’on devient brocanteur …
J’ai créé ma première « homepage » de brocante en 1999 avec le logiciel Frontpage. Dans les années 1990 je récupérai des pompes à essence vintage. Et je pensai (naïvement) pouvoir les vendre sur ce Ouèbe naissant. A l’époque c’était encore un gadget de « geek » où l’on se connectait avec un modem 56k qui faisait un drôle de bruit. Durant 7-8 ans j’ai mis à jour mon site très irrégulièrement, sans vraiment prendre au sérieux, et j’avais peu de messages.
Parallèlement j’avais un métier « honnête » de dessinateur, que j’ai quitté en 2008, pour me mettre à mon compte. Au début, je pensais faire principalement de la création métal. Pour faire la promotion de mon activité j’ai créé mon site de « design » + un autre de serrurerie. J’ai fait quelques travaux, mais je me suis rendu compte que j’étais un mauvais vendeur pour mon propre travail. Je me suis donc recentré sur mon activité de brocante.
En 2018 je commence (avec l’aide d’un informaticien de génie), à refaire mon site en « wordpress » L’idée est d’avoir qqch de plus actuel qui peut se visualiser sur smartphone et peut-être même développer mon petit « bizness » de manière exponentielle et à l’international …